23/10/2025
Un arrêté de la ministre de l’Agriculture publié le 21 octobre au Journal officiel élève le niveau de risque, pour l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), de « modéré » à « élevé » sur l’ensemble du territoire métropolitain. Ce changement de niveau entraîne la mise à l’abri de tous les oiseaux d’élevage ou de basse-cours quelle que soit la commune.
13/11/2024
Un arrêté de la ministre de l’agriculture publié le 8 novembre au Journal officiel élève le niveau de risque, pour l’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP), de « modéré » à « élevé » sur l’ensemble du territoire métropolitain. Ce qui a comme conséquence la mise à l’abri de tous les oiseaux d’élevage ou de basse-cours quelque soit la commune.
La mise à l’abri des volailles est justifiée comme mesure de contrôle de l’introduction de virus IAHP pour réduire ou supprimer l’interface entre les oiseaux sauvages et oiseaux domestiques. En effet, tous les génotypages des souches isolées dans les foyers en élevage cette saison correspondent à des génotype régulièrement détectés dans l’avifaune sauvage.
22/10/2024
Par arrêté paru au Journal Officiel du 15 octobre 2024, le Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire a modifié le niveau de risque vis-à-vis de l’IAHP : le niveau de risque est relevé de « négligeable » à « modéré ».
04/05/2024
Par arrêté paru au Journal Officiel du 28 avril 2024, le Ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté Alimentaire a modifié le niveau de risque vis-à-vis de l’IAHP : le niveau de risque est relevé de «modéré » à « négligeable ».
La situation sanitaire est particulièrement favorable en France en matière d’influenza aviaire hautement pathogène (IAHP):
- aucun nouveau foyer en élevage n’a été détecté depuis le 16 janvier;
- seuls 10 foyers ont été confirmés chez les oiseaux d’élevage pour la saison 2023-2024 contre 402 pour la saison précédente à la même période. Ce très faible nombre de foyers s’explique en grande partie par le succès de la stratégie vaccinale massivement mise en place ;
- depuis le 7 janvier 2024, aucun nouveau cas d’IAHP n’a été détecté dans la faune sauvage migratrice.

